1 : il n’y a aucun doute sur le fait que les lecteurs réguliers de « Café du matin à Paris » bénéficient d’un avantage compétitif dans leur vie professionnelle, quelle que soit l’heure à laquelle le dit café est consommé (ou servi, mais à café gratuit, on ne critique pas le service).

2. il y a de temps en temps de très jolies images qui mettent de bonne humeur pour bosser, même si on ne parle ni français, ni anglais (there may be some very beautiful pictures to be watched, and everybody knows that one art picture a day, keeps the doctor away).

3. C’est quand même plus épanouissant pour faire un « petit break » au boulot que d’aller crapoter dans les toilettes (aller dehors devant la porte de la boite, c’est vraiment pathétique, plus personne ne fait ça) ou vapoter à une fenêtre en feuilletant les Inrocks ou autre Pravda.

4. c’est en général meilleur pour le muscle zygomatique que les notes de service sur les frais professionnels à éradiquer ou les blagounettes des collègues à la machine à gobelets de lavasse, sans les inconvénients des boissons et substances interdites sur les lieux de travail.

5. ça réveille le neurone aussi bien qu’une micro-sieste, sans risque de malentendu aléatoire pour la carrière parce qu’on ronfle sans avoir fermé la porte ou qu’on a oublié de fermer la webcam après le dernier skype et que le DRH monde appelle en décalage horaire.

6. ce n’est pas comme avec les crocodiles Haribo ou autres substances dont certains dirigeants dépassés par les évènements, cadres menacés par les évènements et employés démotivés par les évènements ne peuvent plus se passer, on arrête (vraiment) quand on veut.

7. il n’y a aucun risque d’overdose (tout au plus certaines petites natures ont-elles constaté une certaines surchauffe du neurone après des phrases de plus de 20 lignes, ou un retard en réunion de service).

8. au prix du gaz, avec la crise, ce serait ballot de ne pas profiter de ce que « Café du matin à Paris » est gratuit (ce qui n’empêche pas d’aider à faire bouillir la cafetière en achetant des eBooks de l’auteur sur Youscribe ou Amazon au prix d’un café-croissant au comptoir à Paris).

9. si votre boulot n’a aucun sens, ou si personne ne vous a jamais dit ce qu’on attend de vous « à la fin de la journée », ou si la boite est tellement à la ramasse que tout le monde passe son temps à intriguer ou surfer sur Monster, inutile de risquer la dépression garantie à 100% sur Cadremploi ou le 20/20 certain sur Meetic (20 ans de plus que sur la photo de facebook et 20 kilos de trop, ou 20.000 euros de moins de revenus net annuel que dans le CV et 20 points de QI).

10. et surtout, what else ?

Sinon, il y des amateurs qui aiment surtout cliquer sur les images au cas où il y aurait un lien vers du gros son, de chouettes vidéos ou du rienkedubon pour le moral ; il y en a d’autres qui surfent au hasard du blog (820 billets « normaux », plus ceux en anglais et ceux qui sont plutôt orientés sérieux ou festif genre Noël, Nouvel An et touça-toussa, entre autres, enfin la série « C’est à lire », ça fait très nettement plus de 1000 occasions de passer 5 minutes souriantes et plus si affinités devant son écran, plutôt pas loin de 1500, en fait …) ; et il y en a qui ne regardent que les dessins (ou la photo de montagne). Whatever works, du moment qu’elles/ils aiment ça.

Chacun café ce qui lui plait.

Renaud Favier – 14 juin 2013 – Café du matin à Paris – Compétitivité – English

Mais si on a un SmartPhone et/ou si aime bien avoir partout avec soi une tablette à plus grand écran genre iPad, un Notebook ou un hybride, et qu’on trouve les billets de blog un peu courts ou trop truffés d’images qui font perdre le fil des phrases ou de l’histoire, on peut télécharger et lire des livres électroniques sur la plateforme française Youscribe (nb le format pdf disponible sur Youscribe est assez pratique sur grand écran et moins fantaisiste que ePub à l’impression en format A4), ou sur Amazon. Quelques exemples en cliquant sur les icônes ci-dessous.

               

               

         

           

          

Et il y a aussi du plus « atypique » (et gratuit).

         

Et du plus « business » (gratuit, of course).