Comme l’a bien twitté (bien intuité ?) Groucho Allen, ou Woody Marx, ou on ne sait plus qui, ni en quelles circonstances, ni quand, mais peu importe, personne n’est sûr qu’il y ait mieux qu’ici et maintenant pour avoir une chance sérieuse de se faire servir un bon steak frites.
Quant à demain, comme disait Brigitte qui était moins simpliste quand elle récitait les dialogues écrits par de bons scénaristes que quand elle pousse des cris du coeur plus ou moins désespérés (voire désespérants), on n’a jamais rien inventé de mieux pour pourrir aujourd’hui.
Mais ça n’empêche pas que regarder les guerres de civilisation (que ce soit les civilisations du football ou de sports un poil plus spirituels) depuis le niveau du (droit du) sol, c’est comme voir de choses ou gens au travers d’un pare-brise ou d’un écran, ça peut nuire à la perspicacité.
Entre Orient (Morgenland), Occident (Abendland) et Paris-Plages … où est passé, et où va aujourd’hui ?
Demain est un autre (et honni(e) soit qui à jeux de (de)mains y pense) …
Renaud Favier – 5 août 2014
PS : avant-hier, c’est très loin …
PS 2 : hier, ce n’est pas tout près …
PS 3 : quant à la nuit dernière …
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