C’est pas que ce soit dramatique de devoir se taper son sandwich-demi-café au comptoir plutôt que sur une terrasse enfumée et diesélisée, mais quand même, c’est pas juste un temps pourri comme ça alors qu’on n’a même pas encore posé une fesse sur le sable de Paris-Plages …
Renaud Favier – 7 août 2014




Mais tu vas arrêter non mais !!! hi hi
Moi non plus pas sortie aujourd’hui, manger dans mon bureau tout gris… déjà que mon bureau il est sous verrière !!! Tu ne pars pas un peu ?
P… de P… de P…luie ! 😉
hé hé hé !