Deux roues libèrent et rendent heureux, tandis que 4 rendent hargneux en (r)enfermant. Le pare-brise doit créer une fracture … il y a une thèse de doctorat à écrire, en concluant sur une mise à jour de la question du sphinx sur le nombre de pattes idéal pour avancer heureux …
Tout le reste est littérature pour vieux gamins nostalgiques du temps où la bagnole était un ersatz de cheval et un rêve de gosse, pas un cercueil à mazout avec coussins en cuir et sono wifi, un substitut de salon désign au nucléaire, ou un bureau théoriquement mobile avec la clim’.
Dégage, petit bolide à 4 roues !
Renaud Favier – 25 octobre 2014






