Avant, on comptait sur les entrepreneurs, ou sur l’état si l’on préférait payer des impôts et des fonctionnaires plutôt que des produits ou services marchands, pour créer de l’emploi réel et de la croissance durable.
Maintenant, certains croient en l’économie social(ist)e et solidaire (genre coopératives plus ou moins ouvrières, associations subventionnées, ou charités plus ou moins bien désordonnées), en le crowdfunding divers et varié, ou en les geeks et autres enfants prodiges du numérique élevé en pépinière et/ou biberonné aux aides publiques à crédit. Mais les entrepreneurs sont en exil ou au golf, et le reste est marginal et/ou artificiel.
Heureusement qu’il y a les femmes (en économie réelle, parce qu’en politique Franchouillarde ou en économie administrée genre Areva, les notables, bêtes à concours plus ou moins administratifs et autres fils à papa de sexe femelle ne valent guère mieux que leurs congénères à testicules, cartes de supporter de foot et 4/4 diesel), ça pourrait marcher un peu moins mal sur un malentendu …
Allez les filles !
Reno – 4 mars 2015


