Avant, la TV et ses écrans connexes genre web, numéritrucs ou les aquariums, ça pouvait avoir un intérêt sur un malentendu, genre quand Gainsbarre brûlait 500 balles en direct à l’ORTF, quand le foot était un sport et le cinéma un art, fut-ce le septième, ou quand Georges Marchais faisait son show.
Mais c’était avant (no comment, on pourrait nostaldisserter 30, 300, ou 3000 pages sur la magie du tour de France en noir et blanc, l’écolo-provincialisme prémonitoire des vachettes de Guy Lux, le comique de boulevard pour tous d’au théâtre ce soir », ou la poésie souriante du jingle de la Séquence du Spectateur …).
Maintenant, non seulement c’est plus comme avant (re-no comment, on pourrait twitto-masochister toute la journée comme tout le monde le fait tout le temps depuis des millénaires avant même que les images n’aient commencé à bouger sur les écrans), mais c’est juillet-août, en France …
Heureusement qu’on à les réalités, quand la télé-réalité est aussi accablante que la canicule, Twitter consternant comme un talk-show matinal à la radio, et facebook aussi mou du bulbe qu’une meute d’ados sous perfusion de rap, de militants du foot, ou de supporters politiques.
Reno – 8 juillet 2015



