Je ne dis pas qu’il faut toujours privilégier la violence face à la barbarie (lire : « l’état islamiste » et ses sbires, supplétifs, mandants, financiers et supporters, par exemple), je dis qu’il ne faut pas négliger l’impact psychologique d’un bon coup de pied au Q (en rustique, « dans le Daech ») quand on est confronté à des tarés dangereux, armés, violents, instrumentalisés, drogués, fanatisés, bref dont la tête est gravement malade …

C’est dans la tête que ça se passe …
ReNoComment – 25 novembre 2015


