S’indigner à chaque indicateur économique français déplorable est Has-Been, maintenant

« -5,99 milliards en juin, -35 milliards sur le semestre … problème de compétitivité … entreprises pas assez grandes, pas assez fortes … plan de soutien à l’export … » (Nicole Bricq, 8 août 2012 sur les résultats du commerce extérieur annoncés le matin-même)

La nouvelle ministre du commerce extérieur s’en tient avec zénitude aux (prévisibles) éléments de langage de son cabinet (revus par Bercy, Matignon et sûrement un conseiller technique de permanence au « Chateau » pendant que le Président est à Brégançon). What else ?

De fait, c’est juste « Apocalypse Now« , tendance « The Horror« , mais strictement en ligne avec le « record » de 2011 (modulo le fait que comme les deux courbes import et export fléchissent, il y a destruction de croissance et d’emplois), il n’y a rien de particulièrement nouveau à signaler, sinon que les transferts de collections d’oeuvres d’art vers la Suisse, comptabilisées comme exportations, ont probablement moins d’impact positif sur l’emploi en France que sur l’optimisation fiscale de leurs propriétaires et l’esthétique de quelques résidences (très) confortables dans les montagnes ou au bord des lacs.

Business as usual

C’est très contrariant, car on a vraiment essayé d’aller chercher la croissance partout avec les dents, avant qu’il y ait la crise un peu partout, la tentation protectionniste un peu partout, et la über-concurrence d’un peu partout (notamment en France qui est peu ou prou un marché export comme les autres avec les mêmes concurrents du monde entier sur n’importe quel appel d’offres, les mêmes produits plus ou moins low-cost dans les rayons que sur n’importe quel marché de village du tiers monde et sur les périphériques les mêmes Renault made in … Turquie, Espagne, Roumanie ou Tanger et Audi, Mercedes, BMW, VW et Porsche assemblées en Allemagne que dans n’importe quel autre pays de veille Europe du Sud anciennement triomphant à crédit pas cher genre Grèce ou Espagne).

Honni soit qui penserait que ce n’était pas la peine de rayer les parquets de France et de Navarre à grands coups de menton pour en arriver là … ou que le conseiller qui avait choisi la boite à visiter (une PME, Lefebvre devait être dans le coup) aurait pu penser aux vannes de journalistes facétieux

Et maintenant, avec le ralentissement en Allemagne et en Chine, le marasme en Euroland du Sud et le grippage des financements bancaires (yc cause Bâle 3), c’est comme l’industrie automobile la voiture de Bourvil, ça va moins bien marcher même si le nouveau Président accepte finalement de prendre l’avion ou si la Ministre ou quelqu’un qui parle anglais au gouvernement fait le job de Über-Vendeur pour les centrales nucléaires ou les TGV et de co-négociateur pour le Rafale ou les frégates genre Taiwan (by the way, c’est amusant qu’après l’alternance politique et la présence des verts qui lavent plus blanc qu’Eva Joly au Gouvernement, on ne parle plus du tout des dossiers un peu « compliqués » au Pakistan, à Taiwan ou ailleurs. A croire que finalement tout le bruit médiatique n’était qu’une grosse intoxication, probablement pilotée par des concurrents étrangers anti-France, comme pour ce pauvre DSK).

C’est sûr que le TGV (ou la voiture) vers Bruxelle ou Brégançon, c’est moins risqué que l’avion vers l’Allemagne,  le transport de sac corrézien made in ailleurs vers Washington ou le voyage à Rio pour sauver la planète sans gardes armés

Parlant d’avion, on a essayé de s’associer avec les Allemands pour l’aéronautique, en leur laissant faire le boulot commercial dans les vrais pays pendant qu’on organisait un salon à Paris tous les deux ans, qu’on damait une piste de décollage pour les Soyouz russes en Guyane et qu’on créait un pôle de compétitivité à Toulouse. Ça a plutôt bien marché pour Airbus parce qu’on encore était au top de la technologie grâce à la Caravelle de Mongénéral (qu’on a plutôt pas mal vendue), aux Mirages de Super-Marcel (qui s’exportaient plutôt bien) et au Concorde d’avec les Anglais (qu’on n’a jamais exporté) mais maintenant qu’on est ruinés, que les ouvriers sont en RTT, qu’on a délocalisé à peu près tout ce qui avait un potentiel export et besoin de compétitivité et que le démondialisateur en chef s’occupe du plan quinquennal de redressement productif des filières du kolkhoze, à part quelques ex-Allemands de l’Est nostalgiques du bon vieux temps, et une boite inconnue qui a investi un chouïa dans l’usine de la Ségomobile (à suivre, ce n’est sûrement pas pour rien que Ségo fait des pieds et des mains pour ne plus être à la tête de la région quand sa Cerisaie aura lu Tchekhov), ce n’est pas gagné de trouver des volontaires allemands pour le front de l’Ouest ces temps-ci (o tempora …). Et maintenant, comme tous les pays qui savent déjà faire des voitures, des motos ou des trains commencent à faire des avions aussi, l’avenir des petits-fils des faucheurs de marguerites va se compliquer.

Comme ça, ça a l’air très simple

Alors, on a essayé l’Equipe de France de l’Export, mais si ça nous avait rendu durablement champions du monde, voire simplement d’Europe, on en aurait entendu parler.

On a essayé les Rencontres franco-françaises pour remotiver les troupes, mais ça n’a pas tellement marché pour trouver des clients à l’étranger.

« Je vous ai compris » ?

On a essayé de mobiliser les forces vives dans les Dom-Tom comme en 40, mais ça n’a pas trop bien marché malgré les réunions à haut niveau sur le terrain.

Réunion à la Réunion, vaste programme … mais guère de nouveaux exportateurs

On a essayé de mettre le programme sur internet, mais ça n’a pas fait tellement d’audimat, d’autant moins qu’il n’y a pas d’incitation sonnante et trébuchante pour les PME sinon un ticket modérateur pour des missions collectives et participations à des salons (par ailleurs préfinançable et subventionnables via Oséo, Coface et certains acteurs territoriaux, pour les entreprises ayant le temps de maîtriser les procédures ou les moyens d’en externaliser la gestion) et, il faut quand même le dire, un gros effort d’Ubifrance et ses partenaires pour coordonner les actions, optimiser le maillage français et imaginer, réussir et faire progresser dans la durée des opérations innovantes et performantes comme les French Tech-Tour à Sillicon Valley et dans d’autres spots High-Tech, les Green Tech Tour ou les rencontres internationales du numérique à Paris.

On a essayé les Assises à la Grande Arche de la Défense, mais fatalement, ça n’a pas trop bien marché (il fallait vraiment avoir une foi étrange pour appeler ça des « Assises » tout en prêchant « Lève toi et exporte »).

On a essayé le Haut-Commissariat Général à Paris pour policer les dispositifs d’appui aux exportateurs et doper la compétitivité internationale des PME, ETI et tutti quanti.

Le terrain, toujours le terrain, jusque sous les ors de la République les plus dangereux pour aller chercher les clients et la croissance avec les dents …

On a essayé le régionalisme dispersé, ventilé façon puzzle à la française, mais on en aurait entendu parler si ça marchait vraiment mieux que les multiples « machins » nationaux, subnationaux, territoriaux, municipaux, publics, parapublics, quasi-publics et privés pour créer du vrai job avec un rapport qualité-prix raisonnable (accessoirement, n’importe quel observateur des finances publiques pouvait voir venir depuis quelques années les basses eaux budgétaires pour les Régions, avec ou sans crise des subprimes).

La « Maison » du Languedoc-Roussillon à Casablanca : « Au cœur de Casablanca, dans le quartier du centre culturel français, du grand parc de la Ligue arabe et de la préfecture, la Maison de la Région Languedoc-Roussillon dispose de 625 m² sur deux niveaux dont un hall de 86 m². Avec pour mission de construire un environnement économique et institutionnel performant et de faciliter les échanges commerciaux entre les acteurs économiques du Languedoc-Roussillon et du Maroc, la Maison de la Région à Casablanca offre aux entreprises régionales des services de mise à disposition de locaux et de postes de travail ainsi que la compétence et les connaissances économiques de son personnel. » Dont acte … il y a également des « Maisons du Languedoc » à Londres, New-York et Shanghai, bizarrement pas à New-Delhi, à Sao Paulo ou autre métropole en croissance au climat des affaires un peu rude .

On a même (ré)essayé le pacte de partenariat privé-privé gagnant-gagnant avec soutien moral de l’Etat, entre les grands groupes internationalisés et les petites PME, voire entre les ETI internationalisées et les petites PME en comptant sur l’esprit de solidarité désintéressé des « grands », mais ça se saurait si les affaires internationales étaient la maison des Bisounours.

On n’a pas essayé de jouer sérieusement européen en s’organisant un minimum en noyau dur ou en surfant sur la vague du projet de Small Business Act, mais c’est déjà assez compliqué comme ça de chercher des clients qui ne parlent pas français, et pour une fois qu’il reste un truc sur lequel on n’a pas encore partagé la souveraineté avec Chypre ou la Hongrie comme pour la taille des carrés de feta danoise pour la salade grecque ou le calibre des melons pour les usines de biogaz, on va d’autant moins chercher midi à quatorze heures qu’il y a au moins trois ou quatre fuseaux horaires rien que pour Euroland.

On n’a pas non plus encore délocalisé le soutien à l’exportation comme les centres d’appel et d’autres services à bien plus forte valeur ajouté comme la R&D ou le design, mais il faudrait y réfléchir avant d’être comme d’habitude 3 pas derrière les Allemands et 2 derrière les Anglais : les nouvelles technologies de communication le permettent et l’ardente obligation de compétitivité l’impose : payer les quasi fonctionnaires de la direction internationales de la CCIP au prix de ceux de de la CCI de Tanger en les implantant en open space dans un hangar libre de l’usine Renault au titre du Pacte PME International, installer le back office de la Coface « compte Etat » et le comité national des conseillers du commerce extérieur dans un parc industriel de la CCI française à Casablanca (voire dans ses prestigieux locaux) avec contrats de droit local et avantages sociaux y afférents, enfin  localiser CCI International et l’UCCIFE sur le terrain en Inde aux conditions d’emploi et de rémunération locales pour booster la dynamique française très insuffisante dans ce pays géant en général, à Bombay en particulier, seraient d’excellents moyens d’associer sans suppression d’emplois les partenaires de l’équipe de France de l’Export aux efforts budgétaires de Bercy, tout en assurant une meilleure sensibilité « terrain » à l’ensemble du dispositif d’appui.

La Caravane de l’Exportation, Tanger, Maroc : au moins, la France exporte son modèle de sommets entre institutionnels francophones discutant en fauteuils confortables de commerce extérieur avec des jolis Powerpoint (quant au tapis rouge, il est plutôt d’inspiration britannique, le pré carré n’est plus ce qu’il était)

Pour mémoire, d’autant que la Région dont le Directeur de Cabinet de Nicole Bricq est issu en a été l’un des instigateurs et qu’on peut d’autant moins exclure qu’il propose à la Ministre de s’en inspirer que la mobilisation de fonds européens du Feder est un « incentive » assez massif en saison de disette budgétaire, un portail internet régionalo-étato-européo-parisien a été lancé au niveau de l’Île de France. Impossible d’en évaluer l’impact réel sur la compétitivité des PME de l’Île, d’autant que le dispositif est très récent et qu’il s’agit plus d’information de premier niveau que d’appui à la pénétration de marchés, mais ça ne peut pas faire de mal si ça ne coûte pas trop cher.

Pour mémoire, le précédent gouvernement a délégué, en une sorte de franchise, la représentation d’Ubifrance dans des pays à potentiel mais encore un peu hors du radar de la majorité des PME françaises (Madagascar, Nigeria, Congo -sous réserves-, Jordanie, Pérou, Venezuela), et l’expérimentation engagée et poursuivie depuis plusieurs années à Casablanca a été prolongée, compte-tenu de la puissance encore significative de la présence française privée dans l’ancien protectorat, où la CCI française installée dans les locaux du Consulat Général de France dans la capitale économique continue à exercer un certain nombres de fonctions -écoles, zones industrielles, appui aux exportateurs marocains …- plus proches des missions de service public local d’une CCI territoriale, voire régionale, de France que d’un club d’affaires privé français à l’étranger (la puissance publique concentrant logiquement ses moyens à Rabat, capitale politique et administrative). L’expérimentation semble inspirée dans son esprit des succès chinois avec l’approche « un pays, deux systèmes », ce qui est prometteur, reste à en évaluer l’impact pour les entreprises exportatrices françaises et sur les parts de marché dans les pays lointains d’une part, la capacité à ralentir la progression des concurrents asiatiques, européens et américains (voire français cf usine Renault de Tanger et délocalisations dans les parcs industriels de la CCI française ou ailleurs…) au Maroc, d’autre part.

Bref, depuis la création d’Ubifrance par regroupement d’organismes complémentaires et intégration du réseau des Missions Economiques à l’étranger sous le pilotage de Christine Lagarde, des initiatives sectorielles et de filières dans la foulée du premier Plan Sectoriel d’Exportation Aéronautique avec le Gifas et en synergie avec le développement des pôles de compétitivité (sous tutelle administrative d’une autre branche de Bercy que le commerce extérieur, ce qui ne va pas sans quelques risques d’incohérences et/ou tentations de doublons), il n’y a pas eu grand chose de nouveau et durablement convaincant sous le soleil de France tandis que les déficits s’aggravaient rapidement jusqu’à constituer un sérieux challenge pour le vocabulaire des journalistes spécialisés qui utilisent régulièrement « Bérézina » et « Trou noir » depuis plusieurs années.

Heureusement, on va avoir un plan fin août. Tout l’écosystème de l’appui à l’export est impatient de savoir si l’Afrique (financements multilatéraux, adossement aux revenus d’hydrocarbures et autres ressources naturelles) sera (enfin) intégrée aux priorités, quelles filières seront privilégiées et comment, et si la « chasse en meute » chère à François Loos et aux conseillers techniques de sa génération va faire son retour dans les éléments de langage ou si une autre variante de la « navigation en escadre » (première époque Christine Lagarde) ou du plus neutre et intemporel « jeu collectif à l’international » sera choisie pour accompagner la politique nationale (voire européenne) de réciprocité avec les pays émergés et émergents plus ou moins protectionnistes. Pas mal de gens attendent de voir si la pratique des appels à propositions / offres se généralisera et offrira un terrain d’action plus vaste aux prestataires de services de conseil et consultance français et européens, et si le numérique et l’agro-alimentaire feront l’objet de dispositions volontaristes. Certains observateurs se demandent si les « modèles » et dispositions récentes d’autres pays européens performants, voire l’initiative Obama pour l’export et les actions d’autres pays émergés et émergents pour la compétitivité de leurs entreprises, dument observés et benchmarkés, inspireront le « Plan ». Des djeuns se demandent si un éventuel assouplissement du système des VIE permettant aux PME d’employer les VIE  en France pendant plusieurs mois, partant de l’excellente intention d’éviter de satelliser au bout du monde un djeun ne connaissant pas l’entreprise, ne risque pas de se transformer en « CNE, le retour » de fait sous prétexte de compétitivité internationale des PME.

(nb balance des services peut être importante et inverse à celle des biens, cf UK)

Pour la dimension technique du plan, on ne risque guère de se tromper en pressentant que les dynamiques de filières seront préservées, voire renforcées, que les synergies administratives et opérationnelles avec les pôles, la régionalisation et la cohérence avec les préconisations de Louis Gallois sur la compétitivité, enfin avec le projet de guichet régional BPI seront recherchées. Quant à savoir si et selon quelles modalités la branche export d’Oséo, les activités pour compte Etat de Coface, voire quelques autres institutionnels dont Ubifrance seront peu ou prou rattachées à la BPI et à son futur canevas de guichets en région ou si le réseau des CCE sera incité à évoluer, cela reste l’objet de consultations avant synthèses et arbitrages. Quelques mesures « visibles » ont fait l’objet de « tirs de ballons sondes » dans le landerneau, comme l’assouplissement du système VIE pour permettre l’emploi en France (cf supra) ou des aménagements et simplifications des procédures genre assurance-prospection ultra-simplifiée, mais personne ne s’attend vraiment à des innovations compatibles avec la réduction des effectifs publics en général et de Bercy (et satellites) en particulier, la contrainte budgétaire pour tous les acteurs plus ou moins publics ou dépendants de crédits publics français et le respects d’engagements européens pour la libre concurrence pure et parfaite dont le principe plait tant à Bruxelles, quitte à tirer des balles dans les pieds des employeurs, innovateurs et investisseurs européens.

En fait, c’est une bonne partie du clavier qu’il faudrait revoir

Tout ceci dit, un indicateur économique qui est juste en mode apocalypse stabilisée, c’est presque une bonne nouvelle aux standards du moment : le commerce extérieur n’est peut-être plus LE principal problème économique du pays.

The horror … (Apocalypse Now)

Peut-être que les entrepreneurs ont d’autres besoins, attentes et priorités.

The Horror … (Apocalypse Now)

Peut-être.

The Horror … (Apocalypse Now)

Un dialogue social sur la compétitivité, un Grenelle de l’export aideraient-ils à y voir plus clair ?

The Horror … (Apocalypse Now)

En tout cas, faire bouger certaines lignes (voire dégager certains apparatchiks) ne serait pas un luxe.

Une bonne traversée de désert, si on a assez à boire, des réserves de sens de l’humour et de l’orientation, et puis quelques trucs à lire et un iPhone, ça peut avoir beaucoup plus de sens et de charme qu’un diesel de fonction avec place de parking et sièges en cuir à Paris, en saison des pluies, orages et désespoirs.

Enfin, entre la perte du AAA il y a quelques mois, la crise en Europe et orbi, les chiffres du chômisme (ach, le refus dogmatique du chômage partiel, les rigidités du marché du travail et le dialogue social à la française pour préserver les avantages des employés syndiqués, privilégiés et/ou protégés plutôt que les emplois, gross Malheur), l’annonce officielle de l’entrée en récession de la France et l’arrêt du compteur de médailles aux Jeux Olympiques, on a d’autres sujets sur lesquels Twitter et la Ministre a bien raison de ne pas dramatiser les résultats insatisfaisants et inquiétants, mais pas surprenants ni franchement dérivants, du commerce extérieur ces derniers mois.

Nicole Bricq – Ministre du Commerce Extérieur

Mais quand même, il va vraiment falloir penser sérieusement à cette histoire de compétitivité, à la rentrée.

RF 9 août 2012

PS : si on n’a pas trop envie de surfer sur les sites de l’INSEE ou des Douanes pour ne pas se casser le moral pendant les vacances, on peut télécharger sur Amazon quelques eBooks sur le monde tel qu’il va (ou pas), avec ou sans nouvelles médailles d’or aux JO à Londres ou déficit record du commerce extérieur en France.

    

On peut également lire ou télécharger ces eBooks sur la plateforme française Youscribe (nb le format pdf disponible sur Youscribe est assez pratique sur grand écran et mieux adapté que ePub à l’impression en format A4) en cliquant sur les icônes ci-dessous avec le mulot.

               
               
         
           
        
       

Whatever works, mais si on a du 3G ou du wifi, on peut aussi lire (gratuitement) le dernier billet du blog “Café du matin à Paris” (ou un résumé en anglais si on est anglophone et/ou pas trop chauvin) avec le café, cela ne peut pas nuire gravement aux exportations ou au made in France.

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