Parfois, (se) poser une question, c’est un peu y répondre.
Parfois, (se) poser une question, c’est inutile, tendance sacrilège.
Parfois, pour (se) poser une question, c’est comme pour parler d’amour, il faut faire un peu attention aux circonstances, y mettre les formes, et savoir qu’on peu se prendre un boomerang de 1ère bourre dans les dents.
En tout cas, si on connait d’avance la réponse, il peut être inutile, tendance dangereux, de (se) poser la question.
Mieux vaut, parfois, parler pour ne rien dire, twitter de tout et de rien dans le cloud, et simplement « liker » (et SVP, merci d’avance de le faire dans Youscribe via le lien ci-après, rapport à ce concours de lettres d’amour qui ne rapporte rien qu’un peu d’eau fraiche, par am…itié, et/ou juste pour le plaisir) plutôt qu’overdoser tout le monde d’amour et de lettres : http://www.youscribe.com/catalogue/tous/art-musique-et-cinema/autres/lettre-d-amour-a-une-femme-dans-le-nuage-2003773
Ou aller surfer ailleurs, pour écouter/voir si on y est et si on y parle aussi d’amour … du business, du menu du déjeuner, de tous ces toussa-touça qui sont importants, aussi, #InRealLife : http://madeinfrance2012.wordpress.com/2013/02/19/assises-de-lentrepreneuriat-en-france-in-assistances-veritas/
Renaud Favier – 19 février 2013 – Café du matin à Paris
PS : pour les histoires d’amour, c’est comme dans tout business, il faut un peu de chance.
Et, surtout, ne pas faire de fausse déclaration manoeuvre, même virtuelle …











