Quand c’est Tea Time, c’est l’heure d’une pause … café.
Si on a 5 ou 6 minutes pour un « petit break », un écran et du wifi, ce serait ballot de ne pas profiter d’une vidéo cool du domaine public.
Et si on a deux heures à tuer (et assez de café) avant de pouvoir rentrer at home sweet home ou aller profiter du happy hour au pub, genre brainstorm de motivation, réunion stratégique d’admiration réciproque, ou autre pensum sur le 1% formation de la boite, et qu’on a des voisins pas trop cafteurs ou des Google Glass, une petite orgie de Betty Boop est un plaisir minuscule, délicieusement rétro, voire régressif, dont il serait dommage de se priver.
Non ?
Renaud Favier – 19 mai 2014





