L’Histoire jugera Tsipras.
Peut-être restera-t’il dans les livres comme celui qui a, sur un malentendu, forcé l’Europe à quitter sa zone de confort, à se relever de son fauteuil en cuir entre bureaucratie inefficace, démocratie essoufflée, économie anémiée, et génie aux oubliettes, et changé le sens du vent sur la Grèce ?
Ou aura-t’il juste droit à quelques lignes sur Wikipedia, genre « vae victis », moitié comme faux rouge de salon ayant agité le bocal de la presse (d)économique quelques mois avant de disparaître, moitié comme partie émergée la plus haute du populaire iceberg européen « Podemos » qui n’aura flotté qu’un printemps au temps du début du réchauffement climatique (l’échauffement des esprits, c’est autre chose) ?
Pire ?
Pitre ?
A suivre, après le referendum, ou après, ou avant, ou pas …
RF – 1er juillet 2015







Je ne suis pas du tout d’accord avec vous ! La lutte contre l’Europe de l’austérité doit être considérée comme un combat de sauvegarde de nos luttes sociales remportées et dont vous en profitez aussi largement, je pense ! Je ne vous trouve pas impartial, vous auriez, tout au moins, considérez que si la Grèce en est là, ce n’est pas parce qu’ils sont des Corses d’ailleurs, mais aussi la faute des armateurs et de tous ceux qui les soutiennent avec les Banques ! Les taux d’intérêts et autres. J’espère que la Grèce sortira de l’Europe cela fera réfléchir tous ces profiteurs de tous bords qui engrangent des bénéfices comme jamais en écrasant les peuples sans aucun sens de la solidarité ! Voilà, ce que moi, je pense.
Vous êtes libre de penser, heureusement, et de ne pas être d’accord avec moi (ce qui m’arrive à moi-même, d’ailleurs), heureusement aussi 😉