Tout laisse à penser que les jurés des prix parisiens discutent, entre deux bouchées de risotto de gambas, une gorgée de Meursault, et la neige à Paris, d’autres choses littéraires que les mémoires de notre monument historique vedette de « Un singe en hiver », entre tant d’autres.
Mais Bébel n’en a rien à f… de l’avis des littérocrates parisiens, d’autant qu’il n’a pas non plus été submergé de prix et honneurs pour son extraordinaire carrière d’acteur, et ses mille vies d’honnête homme, et que ça n’empêchera pas le bouquin de se vendre comme des petits pains (honni qui « mais pas au prix du pain au chocolat » y pense).
Moi, j’aime la mer (et l’amer, mais ne parlez pas à ma femme de la Maire) Bébel, épicétou.
Reno – 7 novembre 2016