Net-Land-Art est un des rares trucs à lire sur demain dans lequel on ne s’interroge pas (encore ?) sur le prénom de la dernière première petite fille de France et où ce qu’on lit n’est pas (encore ?) sponsorisé, ni (trop ?) lobotomisé par des réflexes militants de vieux … siècles.
Dans Net-Land-Art 1, on parlait un peu de la météo et d’autres contrariétés à venir après Copenhague, Cancun et autres thermomètres du changement climatique mais on n’avait pas vraiment prévu les cours des bourses ou les manifestations de l’été indien après l’été pourri.
Dans Net-Land-Art 2, on a un peu suivi la sécheresse et les tribulations d’un écolo en classe primaire autour de la Rochelle (sic) mais on s’est vite rendu compte que toussa-toussa n’aurait guère d’impact sur la fonte des glaces, la e-réputation des vrais et faux requins ou le destin des éléphants.
Dans Net-Land-Art 3, on a constaté les dérèglements politique et climatique et on s’est bien dit qu’une météo des vacances pourrie comme ça allait indigner un peu tout le monde et que ça promettait des burn-out et autres manifs de rentrée en cas d’été indien.
Dans Net-Land-Art 4, on reparlait un peu « d’avenir du futur », comme on disait dans les années 70, mais on a oublié le manuscrit à la bibliothèque de Paris-Plage et on verra un peu plus tard si quelqu’un a la gentillesse de le rapporter. En attendant, on peut toujours boire un café.
Dans Net-Land-Art 5, on verra très bientôt ce qu’on en dira, de ces histoires d’indignations, de djeuns, de révolutions, d’octobre, de AAA, de primaires, de sauvetage de l’Euro(pe) et plus si affinités avant qu’il ne soit trop tard parce que la bise (mortelle ?) fut venue et toussa-toussa.
Renaud Favier – renaudfavier.com – musique ! – 20 octobre 2011
C’est fini pour aujourd’hui, mais ce n’est pas une raison pour se (re)coucher.










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