
Le dérèglement climatique (entre autres changements aux conséquences plus ou moins désastreuses) est loin de n’avoir que des inconvénients, et ce petit bout d’été en début de printemps est la plus joie incitation à contribuer à la sauvegarde de ce qu’il nous reste d’environnement (évidement, laisser sa place vide dans le bus ou le métro ne va guère impacter le bilan carbone de la RATP, mais les ceusses qui renonceront à sortir leur panzer diesel pour aller au taf rendront plus service à leurs gosses qu’en faisant un détour en 4/4 pour créer un embouteillage pour poser leur pourris-gâtés à la porte de l’école).
Let´s Velib’ !
Reno – 20 avril 2015


