Allez, une fois n’est pas coutume, mais la petite dame qui m’a ronchonné dans l’écran ce matin que j’écrivais comme un / pour les bobo(s) parigot(s) sono(s) plus ou moins intello(s) n’a pas totalement tort, alors faisons court : l’Angleterre n’aura tenté de noyauter l’Union Européenne que pendant un demi-siècle, alors qu’elle a passé deux ou trois cent ans à organiser sa mainmise, non sans un certains succès pendant grosso modo le règne de Victoria, sur le sous-continent indien … mais le résultat final est tristement parallèle, même si la guerre religieuse et la partition de l’Europe paraissent moins proches, moins inévitables, moins désirés par les uns, moins voulus par d’autres, et néanmoins fatalement votés un peu par tous et partout …
Les ceusses qui voudraient plus de blabla sérieux, sinon classique ou prêt à se mettre dans le … neurone, attendront que j’aie le temps de faire une dissertation en thèse-antithèse-synthèse avec plein de retours chariots (ou pas), de ponctuation (ou peu), et de mots padularrousse (ou pire).
RF – 21 (ou 22 ? ou 23 ?) juillet 2017