Quand j’étais gosse, on surnommait « Tubosses » un des pions nonchalants du collège qui leitmotivait « Tu bosses » en trainant ses cheveux filasses entre les tables de la salle dite « d’étude » pour essayer de pousser des gamins globalement irresponsables à se préparer un peu d’avenir … ensuite, j’ai connu une ribambelle de « ZeBigBoss » qui essayaient avec des méthodes, des objectifs et des succès variables de faire bosser de grands ados plus ou moins réactifs aux stimuli pour adultes attardés, genre promesses de bonus, perspectives de promotion, menaces de sanction, ou vice-versa, dont quelques-un(e)s étaient d’ailleurs des gens épatant(e)s en dehors de leur costard, voire des patron(ne)s formidables même dans leur bureau, mais la vérité vraie est (restée) ailleurs, côté Bossa, fredonnant entre Botafogo, Urca, Prahia Vermelha, et (faut pas envisager de mourir sans avoir dégusté un coucher de soleil à Arpoador avec du Tom Jobim dans les oreilles et la perspective d’une picanha au Barril ou d’une feijoada à Leme) Ipanema …
Longtemps je me lèverai plus ou moins tôt (prioritairement pour faire chauffer de l’eau pour le café -et un peu plus d’eau pour le thé si affinités-), mais toujours en chérissant le souvenir de Rio (et en écoutant de la Bossa -et du jazz, quand il sent la Bossa Nova et le bon café-) …
Reno – 8 janvier 2016
PS : Y’en a qui disent que la Bossa, c’est pas seulement Rio …
PS2 : … qui disent qu’Oscar, c’est pas seulement que d’la Bossa …
PS3 : … qu’Oscar, c’est encore mieux en live dans les années … Bossa
Let them talk … and listen to Oscar
Sinon, il y a aussi Quincy, si on a besoin de café plus fort
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