Franchement, la deuxième vague, pas la peine de s’en faire une montagne si elle ne fait pas plus de dégâts que la première (on peut espérer que nos pouvoirs publics ne vont pas être pris au dépourvu à l’insu de leur plein gré, et auront profité de l’été pour commander en Chine quelques respirateurs et décider si oui ou non l’intérêt général à la guerre comme à la guerre est plutôt de traiter en début de maladie avec des médocs pas chers, ou si mieux vaut claquer un peu de fric à faire semblant d’essayer de sauver quelques dizaines de milliers de vieux fragiles et obèses coûteux pour la sécu dont l’état guigne les retraites et les proches l’héritage). Et tant qu’à y être, si on doit y (tré)passer, autant que ça soit avec le sourire.
Et puis, de toute façon, grâce au vaccin des Soviets, on va pouvoir se faire protéger (si les marchés continuent à nous prêter à taux zéro pour acheter le Sputnik anti #Covid alors qu’on a déjà fait péter tous les compteurs de surendettement et que ça commence à se voir qu’on est un ClubMed sous protectorat économique, pas un Land un peu neuneu des Allemands).
RF – Paris (assez masqué, mais toujours pas reconfiné) 14 août 2020
Keep cool …
